druidepunks

C'est ici que tout commence et tout ce termine

Lundi 6 juin 2011 à 12:54

Les petits mouchoirs un beau film de merde, on est censé être triste pour jean du jardin qui se drogue et se tape un camion parce qu’il ne respecte pas un feu, déjà c'est un toxico alors bien fait, en plus c'est un hors la loi alors encore plus bien fait, et son jeu d'acteur dans ce film est tout bonnement génial entre son Gnééé agonisant du début et son KRrrrr de mourant à la fin...

Pis bon, moi je veux bien pleurer pour lui, mais c'est comme si je me mettais dans tout mes états pour le facteur du coin, on le connais autant, quoi que le facteur à l'air plus sympa, pis bon il meurt ok mais il meurt tranquille dans un lit, bien au chaud.

Et Guillaume kané (je connais pas l'orthographe) n'a rien trouvé d'autre pour sa tendre et douce copine que de lui donner le rôle de la hippie qui adore les gens miséreux et qui baise avec tout ses bon copains sauf un, Whaouuh ça la rend mystérieuse.

Plus de deux heures de film et t'apprends quasi rien sur personne, tu ne t'attaches à personne et tu ne comprends personne, c'est dingue quand même, t'en as un de leur bande qui va pas bien il y en a deux qui vont le voir, le reste ne sais pas ce qui se passe, du coup un autre ne se sent pas bien, là il y en a 4 qui viennent l'aider, pis là d'un coup il y a un chevelu qui arrive qui fait de la guitare (lui aussi il baise avec la copine a Gui) on sait pas pourquoi il est là mais tout le monde l'aime bien.

Et quelle bande de copains de merde, ils passent leur soirée à se rappeler la soirée d'avant ou à imaginer celle d'après, au lieu de se déchirer la gueule il joue au carte, au lieu de faire les cons, ils jouent de la guitare, c'est navrants presque autant que, euh..., à si que... a bah non, il est juste aussi navrant que lui même.

Merci Guillaume t'as lancé un nouveau style de merde pour les bobos et les vieilles filles. (Ironie outrecuidante)

Bon un petit dessin quand même.
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Mais un vieux dessins. Bah ouais faudrait pas voir à faire baisser le niveau de mes oeuvres seulement à cause d'un film complétement à chier.
Toutes fois, désolé pour le vocabulaire scato tout au long de l'article.

Boîte a cris

druidepunks

Samedi 28 mai 2011 à 12:00

Ça en faisait du temps n'est ce pas ?
Mais je revient ardument avec dix petites œuvres
dans l'espoir de vous rassasiez bande d'esprit avide.
 
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Désert

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Ombre

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Agissement

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Forêt

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Clochard

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Lampion

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Ecrivain

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Ruelle

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Bataille


Maintenant que j'ai la conscience tranquille, j'ai la conscience tranquille.
Ouais j'ai fait mieux comme chute mais là j'ai pas envie, merde.

Mise en image.

druidepunks

Samedi 16 avril 2011 à 21:08

Il y a bon nombre de chose que l'on se doit de garder en soi.

Si tant est que
l'une d'elle sorte, les conséquences dépasseraient vite votre imagination.
Le train qui emmènera ces quelques mots ne fera pas fonctionner son sifflet pour prévenir, il se contentera de fuir à toute blinde, crachant sa fumée noir en tout endroit, l'imprégnant dans les chaires et esprits de quiconque voudra bien tendre l'ouïe et n'aura pas encore enfoui son âme de curiosité malsaine dans les tréfonds de l'ignorance.



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Sinon oui, vous pouvez m'adorer.


Douce solitude

druidepunks

Dimanche 3 avril 2011 à 7:30

Je vois que ces messieurs dames ne daignent pas tapoter leur touche de clavier, pour glisser un simple message qui me pousserais à embellir ces quelques pages.
Les raisons de ce non engouement à mon égard s'explique soit par le fait que vous en avez rien à branler de ma gueule et de ce qu'elle crée ou bien je suis tombé sur des fans complétement manchots qui ont élus domicile pour un bref instant dans mon monde par erreur en croyant arriver sur "Humide_Fuck@blowjob.fr" et non "DruidePunks@cowblog.fr".

Peut être devrais je me bannir de la toile, sombrer dans une léthargie scripturale virtuelle et perdre ma notoriété binaire ou en d'autres termes abandonner mes deux seuls et uniques partisans.

Désormais je sais ce qu'a ressenti ce pauvre drogué de Jésus lorsque ses quelques amis l'ont cloué à deux planches comme un vieux saucisson dont personne ne voudrait en déguster ne serait-ce qu'une maigre rondelle.

Mais tout comme ce pauvre gars délaissé je vais renaître de mes cendres, enfiler mon unique habit, un slip kangourou distendu et parsemé de taches comme un ouvrage dont l'écriture fécale en raconterait sa propre histoire.

Le monde sera mien dans sa totalité, ses locataires y comprit, si ce n'est ces quelques adeptes de denrées orientales beurrées, sucrées qui d'une pierre deux coups les poussent à ce voiler la face et suivre le régime qui fait fürher de ce débris barbus complétement timbré mais pas entièrement affranchi. 

Ma plume témoin de mes versets, mon parchemin en guise de martyre, mes idées pour clouer le tout, quelques sbires aveugles pour me soutenir sans questionnement et une bonne pub seront la clef de votre déchéance, les rouages de votre ignorance, je créerai en vous un vide qui par la suite sera comblé par mes inepties que vous engloutirez tel un cratère béant accueillant les flots ravageurs des croyances que j'encastrerai à coup d'ouvrages angéliques dans vos tronches d'êtres vils et abrutis, suivant au pas les chemins maudits de la pornographie abjecte qui fait de vous de parfaits clients, buveurs d'insondables pensées que j'introduirais dans vos consciences fragiles, puériles et c'est au moment opportun que vous deviendrez les suiveurs inconscients, les parfaits petits soldats de mon règne apocalyptique mais pourtant si cohérent pour vous une fois déséquilibrés, perdus dans la fuite de vos convictions, les données encrées dans vos esprits deviendront ruines, synonymes d'hécatombes, d'ombres divines, tombeau de vos idéaux et siège de ma puissance magistrale. 
 

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Ne pensez plus, je sais ce qui est bien pour vous, nourrissez vous de mes paroles, arpentez mes œuvres, dormez dans le creux de mes textes, enivrez vous de mes ouvrages, laissez vous guider en toute confiance, mon empire vous appartient. 

brain work

druidepunks

Lundi 7 février 2011 à 21:22

Il arme son révolver.
Tout de chromé fait, il aime à se dire que c'est le même que dans les films.
Il glisse son doigt du bon côté de la gâchette et retire la sécurité, d'un seul geste du pouce, question d'habitude.
Son crâne le démange, surement les nerfs qui s'expriment.
Rien de grave dirons nous dans ce genre de situation.
Aujourd'hui comme tout les autres jours, il choisit sa tenue de la journée.
Vêtements sobres et discrets. Un pull noir à col roulé sur un t-shirt blanc et un jeans délavé.
C'est comme ça qu'il se préfère, il n'aimerais pas ressembler à ses punks arborant le drapeau de la nation fièrement, sur un cuir noir délaissé de tout entretient et parsemé de clou. Ce genre de personne qui aime à se faire remarquer, canettes de bières à la main en pleine après midi.
Il ne les comprends pas et n'essaie pas non plus.
Pas besoin de mettre une veste par ce temps, le soleil vient juste de poser ses premiers rayons, combattants encore sa place avec quelques nuages faisant de la résistance.
Le son de la télévision est un peu trop élevé et il en à marre des conneries qu'il peut y entendre, il ne l'éteint pas, et choisit de ne pas y prêter attention.
Il sort enfin.
En effet le temps est agréable.
Il vérifie une énième fois si la crosse ne dépasse pas, ça là foutrais mal de ce faire apercevoir comme ça.
Il remonte la grande rue en direction de son ancien lycée, tête baissée, un simple corps qui avance, froid, une personne comme toutes les autres.
Il a envie d'emprunter le parc, ça fait longtemps qu'il n'y est pas passé.
Et faut dire qu'il n'est pas vraiment pressé d'arriver à destination.
Sur la droite, à l'entrée, des enfants un peu éloignés de leurs parents jouent avec un pneu abandonné.
Qu'est ce qu'ils sont chiant à gueuler comme ça, pour un simple bout de caoutchouc.
Il se demande si ils ne seraient pas mieux dans ce fossé.
Il chasse rapidement cette idée et continue sa route, ne prêtant plus attention à ce qui l'entoure.
Il a très vite appris a se créer cette barrière pour s'éloigner au maximum de tout ces gens, trop heureux à son goûts, et la bonne humeur ne déteint pas sur lui, au contraire elle l'assombri davantage.
Il accélère le pas, il pensait que ça irais, mais finalement, il s'est fait rattrapé par ces choses qu'il tente d'enfouir.
Enfin, sortit du parc, il rejoint une ruelle, il la connait très bien, c'est pas la première fois qu'il s'y rend.
Il n'a jamais aimé venir ici, mais cette fois ci c'est différent.
Il déteste cette homme que son père le force à aller voir, ça fait longtemps maintenant, mais il ne s'habitue pas.
C'est la dernière fois qu'il verra ce type.
Il ne se fait pas d'illusion, il sait bien que le courage, en croisant son regard, va encore partir au galop et le laisser seul encore une fois.
Il l'attend, comme chaque jour, il est là, debout devant une porte en fer, donnant accès à un large bâtiment datant d'une bonne trentaine d'année.
Il a toujours l'impression, à chaque fois qu'il vient, que des dizaines et des dizaines de personnes l'observent à travers ces vitres sales.
Il n'a jamais osé garder le regard fixe sur l'une de celle ci, quelque chose dans son intérieur l'en empêche.
L'homme le salue d'un hochement de tête avant même qu'il n'est pu gravir les quelques marches.
Il le laisse passer devant lui et le suit d'assez près, la porte de l'appartement est déjà ouverte, l'odeur de tabac froid, de fond de bouteille et de foutre vient s'incruster directement dans ces narines, jusqu'à le prendre aux poumons.
Il se force à ignorer ça.
L'homme le fixe et attend.
Il connait le rituel et fait glisser lentement son jeans en bas de ses chevilles, en prenant soin de ne pas laisser apparent son revolver.
L'homme fera le reste et une demi heure plus tard il se retrouvera sur le seuil de ce bâtiment.
Aucune expression sur le visage, le revolver toujours à sa place, et quelques billets en plus dans la poche.
Une fois chez lui, il tendra ces billets à son père et partira dans sa chambre en ignorant le son de la télévision.
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brain work

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