druidepunks

C'est ici que tout commence et tout ce termine

Jeudi 3 février 2011 à 10:55

Envie de gaité en ce moment.
Et beaucoup de temps, c'est qu'une semaine de repos faut la remplir.
Une seule planche pour l'instant, mais je suis fière du résultat.

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Un simple : " Bravo, tu es mon Dieu " suffira.


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druidepunks

Lundi 31 janvier 2011 à 21:16

Je sais pas ce que j'ai en ce moment, mais vous n'allez pas vous plaindre de cette hausse de rendement.
Pour vôtre plus grand plaisir, et pour abreuver votre grande soif de chef d'oeuvre, je vous offre la suite comme prévu.
Et pour ceux qui ne connaissent pas le début, retournez en arrière dans le blog.



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De rien.

Lundi 31 janvier 2011 à 19:54

Ce n'est pas la suite de l'histoire de "mon bonhomme en bois" mais ça contribuera largement à faire vôtre bonheur.
Et la suite de l'autre sera pour plus tard, bien évidemment.

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Fin de cette première micro-histoire, d'autres viendront, soyez sans crainte.
Druide Punk.


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druidepunks

Dimanche 30 janvier 2011 à 19:44

Assis, j'attends, j'écoute, je fait semblant.
Je prend soin de faire durer chaque gestes une courte éternité, ce n'est pas la fatigue, juste un ordre de mon cerveau donné au reste de mon corps.
Peut être se dit il que c'est plus sûr.
J'observe sans grand intérêt ce que je peux.
Une salle sombre, plutôt inquiétante maintenant que j'y fait attention, à vrai dire je ne me suis pas demandé ce que je foutais là.
J'ai adopté une respiration lente, trop lente.
Une grosse tâche noire est installée à côté de moi, ce qui ressemble à la tête, brille, captant le peu de lumière dans cette importante obscurité.
Je me glisse doucement vers celle ci, c'est une femme, je me met près d'elle en prenant la précaution de ne pas la toucher.
Il serait préférable, dans un moment pareille, que mes doigts ne viennent pas se mettre là où ils ne sont pas conviés.
Elle est blessée à la tête, une plaie tiède qui laisse s'échapper un filet rougeâtre.
Son souffle est rapide, à la façon d'un chien qui halète.
J'étends mes jambes, mon pied vient de heurter un objet lourd, je l'ai sentis roulé.
Je le suis à quatre pattes en me repérant au son de ses mouvements.
Mes cheveux frôlent un meuble, au toucher, je dirais que c'est une vielle armoire en fer, elle dégage une odeur de rouille.
Des sueurs froides coulent le long de ma colonne vertébrale.
Je commence à me demander ce qu'il ce passe dans cette pièce, et qu'est ce que je fait avec une femme blessée.
Je tend mon bras sous l'armoire, à la couche de poussière, je devine que cet endroit ne doit pas être entretenue, peut être même abandonné depuis un bon moment.
Ma main touche une boule de poussière, du moins j'espère.
Enfin, je l'ai attrapée.
Ça tombe bien, une lampe torche, celui qui l'a laissée là avait dans l'optique de me montrer quelque chose, je l'allume et d'un coup les ténèbres se transpercent d'un rayon lumineux, une volée de poussières brillantes inondent aussi tôt son champ d'action.
D'abord un large tour de la pièce.
Aucune fenêtre.
Aucune porte.
A croire que j'ai traversé les murs pour entrer à l'intérieure.
Je m'arrête sur un visage, son visage, du moins ce qu'il en reste.
Le côté droit est ensanglanté, la chaire est visible, le morceau de peau qui devrait s'y trouver est accroché au bas de la tête, pendant. Comme si celui qui lui avait fait ça, l'avait littéralement épluchée.
La chair à noircie mais c'est encore récent, le liquide pourpre n'est pas sec et reflète la lumière de ma lampe.
Soudain, comme si ses yeux avalaient la lumière, je ne voit plus qu'eux, un regard noir, les paupières écartées, comme maintenues par des agrafes imaginaires, elles aspire tout se qu'elle regardent, on croirait observer un trou noir, on en devient très vite la proie.
Elle se lève, d'un geste brusque elle m'attrape le bras.
Mon coeur s'accèlere, ses yeux se retournent, deviennent blanc, ses lèvres s'écartent, un peu plus et elle se déchireraient.
Elle se laisse tomber sur moi, la lampe m'échappe, je ne sent plus rien.
Plus aucun bruit, une silhouette se dresse derrière elle, s'échappant de l'ombre, agrippant son pied d'une main trois fois plus grandes que celle d'un homme.
La femme se laisse emmener.
Je me retrouve seul.


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brain work

druidepunks

Mercredi 12 janvier 2011 à 18:24

Deuxième jours, deuxième article. Aujourd'hui la suite de l'histoire de "mon bonhomme en bois". Je suis pas content du résultat ni pour la première ni pour la deuxième. Mais j'ai réalisé pourquoi, donc demain ou après demain au plus tard logiquement, la troisième planche apparaitra et un meilleure rendu lui sera assuré.
Par contre sur le fait que ce soit dans les jours prochains ça ne tient que de ma bonne volonté, de mon emploi du temps "surchargé", de mon envie et surtout de ma non fainéantise, ce qui est plus rare.
Bonne lecture, courte, mais bonne.
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Bref, mais intense, n'est ce pas ?!

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